Искусство

An exploration of the rivalry between Kuniyoshi and Kunisada, two of the most popular Japanese ukiyo-e woodblock print artists of the nineteenth century, based on masterworks from the peerless Japanese art collection at the Museum of Fine Arts, Boston.

Rival ukiyo-e masters Kuniyoshi and Kunisada were the two most admired designers of figure prints in nineteenth-century Japan. Famous for the realism of his portraits of Kabuki actors, the sensuality of his beautiful women and the luxurious settings he imagined for historical scenes, Kunisada was the popular favourite during his lifetime. Kuniyoshi is loved by connoisseurs and collectors today for his dynamic action scenes of warriors and monsters (which foreshadowed present-day manga and anime), his comic prints, and even a few especially daring works that included forbidden political satire in disguise. With scores of illustrations in glorious full colour, this beautifully produced volume presents Kuniyoshi and Kunisada’s artistic rivalry through a selection of outstanding works from the unparalleled Japanese art collection of the Museum of Fine Arts, Boston. Readers are invited to decide for themselves which of the two is their personal favourite.

This opulent volume features large-format plates of an impressive selection of masterpieces from the Kunsthaus Zurich: fascinating paintings from the late Gothic period, the Golden Age of the Netherlands, the Italian Baroque, and the Venetian Settecento. Icons of Swiss art, including Fuseli, Böcklin, Hodler, Segantini, Vallotton, and Giacometti are among the highlights of the collections. First-class works by leading painters draw the viewer into the colorful world of Impressionism and Post-Impressionism, at whose center stands a group of works by Monet. Besides pieces by Munch, there are important works by Kokoschka, Beckmann, and Corinth. Last but not least, this splendid book presents an excellent array of early 20th-century works by Picasso, Matisse, and Chagall, as well as American post-war art, Pop art, and other works up to the present time: Twombly, Beuys, Bacon, Baselitz, and Fischli/Weiss set the tone here.

In July 1993, Nirvana was the biggest band in the world, and Kurt Cobain was subject to an intense level of celebrity and public scrutiny.

In New York City to play the famed Roseland Ballroom and promote their new album In Utero, Cobain and Nirvana were photographed by Jesse Frohman and Cobain gave a candid interview to Jon Savage for an article in the Observer.

Only nine months later, Cobain killed himself. It was the last formal photo shoot Nirvana ever did, and one of the last major interviews Cobain ever gave. Twenty years after his death, they are published here together for the first time since the Observer article, including previously unpublished material, and accompanied by new commentary from Frohman and Savage about that day, and an essay by pop culture maven Glenn OBrien on what it all might have meant.

Frohman's 100-plus photographs, including contact sheets, get to the heart of one of the most beloved bands of all time, at the height of their success and the moment when everything was starting to unravel. We see Cobain as he was just months before his death, by turns feral and refined, posing on his own, goofing around with his band mates, engrossed in his music and always ambivalent about the spotlight. Savages interview reveals an optimistic side of Cobain seemingly at odds with his public image, and particularly poignant as we look back on his life.

This book offers a powerful, moving portrait of Kurt Cobain and will be an important contribution to the literature of rock and roll.

Illustrations :  316 en couleur et 821 en noir et blanc

Voilà un ouvrage qui aura incontestablement fait date. Il y a vingt ans, les auteurs, Jean-Louis Paudrat, Lucien Stéphan, Françoise Stoullig-Marin, mobilisés autour de Jacques Kerchache, tentaient la synthèse qui manquait jusqu’alors sur l’art africain et qui était évidemment attendue dans la collection « L’Art et les grandes civilisations ».
L’entreprise précédait toutes les publications globales ou partielles réalisées au cours des années 1990 autour d’expositions sur les arts africains.
Avec l’ouverture du musée du quai Branly, une édition totalement remaniée et enrichie d’une centaine de pièces s’imposait. La plupart d’entre elles proviennent de ce nouveau musée, mais aussi de musées allemands, anglais ou américains.
Donner à voir l’art africain dans son contexte artistique même, c’est le principe qui guide l’approche ici proposée. Les œuvres ne sont pas perçues de manière isolée mais confrontées les unes aux autres, ce qui permet d’appréhender par le jeu des oppositions et des similitudes, des redondances et des variations, l’univers dont elles émanent et ce qu’elles en représentent.
Loin de la contemplation dévote ou de la curiosité purement ethnographique, ce livre offre une approche globale sur la sculpture africaine en abordant aussi bien les questions de style que celles des fonctions.

Ce livre, publié pour la première fois en 1897 et constamment réédité depuis, est une véritable encyclopédie du travail du bois. Il comporte trois volumes soit plus de 200 planches qui rassemblent les principes de base nécessaires à l’exécution des ouvrages de menuiserie traditionnelle. À l’origine destiné aux apprentis menuisiers, il est devenu aujourd’hui un classique incontournable qui présente des réalisations simples et d’autres exceptionnelles, réalisées avec des techniques de toujours : l’art du trait et du dessin, rarement abordé en menuiserie, est ici développé clairement.

 Tome 2 : après les indispensables fondamentaux du tome 1, l’auteur rentre maintenant dans le vif du sujet pour cette étude des
pièces de menuiserie.

Il commence par un survol de l’outillage nécessaire au menuisier, puis décrit les principaux assemblages, y compris certains qui
semblent impossibles à première vue, les soi-disant’’secrets du compagnon ’’. Suivent une étude des coupes, puis celle des principaux
ouvrages de menuiserie, depuis les croisées jusqu’aux plafonds.

Le second volume se termine par un traité des escaliers : leur histoire et leur réalisation, en commençant par des ouvrages simples comme des escabeaux ou des escaliers à limons droits, pour se terminer par des prouesses de l’art du trait comme l’escalier qui tourne autour d’une bouteille ou celui à double départ enlacé. Les plafonds rampants ne sont pas oubliés car ils présentent des difficultés spécifiques de tracé que l’auteur résout avec simplicité.

Sommaire

De la menuiserie :

Outillage, assemblages, secrets du compagnon, coupes diverses.
Croisées, persiennes et jalousies, parquets, portes, devantures de boutique, casiers, stalles, volets, plafonds.

Des escaliers, des plafonds d’escaliers :

Marchepied, escabeau, échelle double, échelle de meunier, escabeau à rampes pour bibliothèque, escaliers divers et leur mise au
plan, volutes, limons, escaliers doubles, plafonds rampants, lambris rampants.

Ce livre, publié pour la première fois en 1897 et constamment réédité depuis, est une véritable encyclopédie du travail du bois. Il comporte trois volumes soit plus de 200 planches qui rassemblent les principes de base nécessaires à l’exécution des ouvrages de menuiserie traditionnelle. À l’origine destiné aux apprentis menuisiers, il est devenu aujourd’hui un classique incontournable qui présente des réalisations simples et d’autres exceptionnelles, réalisées avec des techniques de toujours : l’art du trait et du dessin, rarement abordé en menuiserie, est ici développé clairement.

Tome 1 : ce premier volume propose un retour auxnotions de bases (le nom des choses, tracer une ligne, le contexte architectural d’une pièce de menuiserie) pour les éclaircir et les approfondir.

Il commence par un dictionnaire qui concerne à la fois le travail du bois (outillage, assemblages, pièces de menuiserie diverses) et l’architecture (éléments de construction, charpentes). Il se poursuit avec un traité de géométrie : l’histoire de cette science est suivie d’un long développement sur la géométrie descriptive, la plus utilisée dans le travail du bois. Sont successivement passés en revue les instruments de tracé et de dessin ; les tracés des lignes, des courbes, des surfaces, des volumes ; leur développement, les pénétrations. Ce précis de géométrie appliqué au bois est complété par un court traité de perspective et de dessin des ombres.

Pour terminer ce premier volume, l’architecture, que Léon Jamin considère comme indissolublement liée à la menuiserie qui est son« soutien indispensable », est décrite en détail à travers son histoire et une étude approfondie des ordres d’architecture. Même si l’auteur semble s’éloigner de son sujet, il a toujours en tête le travail du bois, et chaque détail mentionné concerne directement le menuisier.

Sommaire

Dictionnaire des principaux termes employés dans la menuiserie, la charpente, l’architecture et la géométrie.
De la géométrie
Ce qu’il faut pour dessiner
Des lignes, des angles, des triangles, des quadrilatères, du cercle, des polygones réguliers, de la scotie, des étoiles, des courbes (oves, ovales, ellipses, l’ellipsographe).
Des solides
développements, surfaces, projections, pénétration, volumes.
De la trigonométrie
mesures des distances, des hauteurs, les coupes.
De la perspective
Des ombres
De l’architecture
Historique
Des ordres d’architecture : origines, proportions, module.
Tracé de l’ordre dorique grec, ionique, toscan, corinthien, composite.
Les colonnes torses.
Entre-colonnes et portiques.

Ce livre, publié pour la première fois en 1897 et constamment réédité depuis, est une véritable encyclopédie du travail du bois. Il comporte trois volumes soit plus de 200 planches qui rassemblent les principes de base nécessaires à l’exécution des ouvrages de menuiserie traditionnelle. À l’origine destiné aux apprentis menuisiers, il est devenu aujourd’hui un classique incontournable qui présente des réalisations simples et d’autres exceptionnelles, réalisées avec des techniques de toujours : l’art du trait et du dessin, rarement abordé en menuiserie, est ici développé clairement.

Tome 3 : ce dernier volume traite surtout des tracés difficiles concernant les pièces biaises et courbes.

Il commence par un traité des arêtiers. Même s’ils sont du ressort du charpentier, l’auteur les étudie néanmoins car la compréhension de leur tracé est la clé de nombreux problèmes de menuiserie : le tracé des arêtiers droits permet la réalisation de combles en tout genre mais aussi de queues d’aronde biaises, de trémies diverses, de tabourets, de tables et pupitres. L’étude des arêtiers courbes permettra au lecteur de s’attaquer aux culs-de lampe et autres ouvrages de menuiserie cintrés demandant de bonnes connaissances en géométrie pratique.

L’auteur s’étend ensuite sur les ouvrages cintrés en plan et en élévation, en commençant par les plus simples comme les chambranles ou les croisées, pour s’initier peu à peu à la difficulté du tracé des arrière-voussures ou des travaux d’église. L’ouvrage continue par la
description de réalisations diverses : tables à coulisses, agencement de magasins, lambris.

L’ouvrage se termine par quelques remarques sur les bois, et par quelques pages sur la résistance des matériaux rendue facile à appliquer grâce à quelques tableaux chiffrés.

Sommaire

Des arêtiers

Queues d’aronde biaises, auges et trémies diverses, hotte de cheminée, charpentes, tréteau, tabouret, table à dessin, corroyage des
bois cintrés, projection et élévation des courbes.

Des ouvrages cintrés en plan et en élévation, des voussures, des travaux d’église

Chambranles, persiennes, croisées.

Voussures et arrière-voussures diverses (archivolte, corne de bœuf, queue de paon, de Marseille, de Montpellier, de St Antoine),
calottes, trompes, colonne en spirale, flèches torses.

Confessionnal, stalle, autel, chaire à prêcher, buffet d’orgues (chapitre rédigé par A. Cavaillé-Coll).

Ouvrages divers :

Bibliothèques, vitrines, lambris, tables à coulisses, agencement de magasin, devanture, intérieurs vus en perspective.

Des bois

Nomenclature, densité, abattage, débits, désignations, résistance des bois, cubages.

"Hortus Eystettensis, "Le Jardin d'Eichstätt" demeure sans doute, pour les plus anciens exemplaires connus (1613), l'un des plus somptueux parmi les ouvrages représentant des fleurs.
(...) Le Florilège de Basilius Besler (1561-1629) nécessita une quinzaine d'années de travail. Il vise à décrire les végétaux qui ornaient le jardin épiscopal occupant, autour d'un château, le sommet de la colline de Willibadsburg, au nord-ouest d'Eichstätt.
(...) Ainsi se perpétue jusqu'à nous une horticulture réduite au précieux florilège dont quelques planches sont réunies ici, issues de l'exemplaire de la Bibliothèque nationale de France."
Gérard G. Aymonin

Avec 75 reproductions à pleine page représentant 208 espèces
Noms français et familles précisés
Bibliographie
Préface de Gérard AYMONIN du laboratoire de phanérogamie, Muséum national d’histoire naturelle de Paris.

Illustrations:  300 à 350 illustrations, 4 doubles pages dépliantes (120 cm) en couleur

L'histoire de Venise se lit dans la peinture.
La cité est née et s'est imposée dès le  Moyen Âge. C'est au IXe siècle que ses bateaux rapportent d'Alexandrie les restes de Marc l'Évangéliste en l'honneur de qui est édifiée la basilique San Marco. Avec Théodore qui domine du haut de sa colonne la Piazzetta, il veillera sur Venise près de mille ans. C'est longtemps vers l'est que la République a tourné ses regards : elle utilise et orchestre la quatrième croisade en 1204 qui lui permet de prendre Constantinople. Et, si le XIVe siècle italien hésite entre le dynamisme de Gênes et la domination de la Sérénissime, la victoire vénitienne de Chioggia installe pour longtemps une prééminence incontestée et tranquille.
Que s'installent les peintres, les graveurs et les imprimeurs, que les humanistes célèbrent la Seigneurie, que le doge épouse la mer et invoque les saints protecteurs de la cité ! Que les églises, les chapelles et les scuole se dressent et célèbrent la République devant laquelle tous les grands se prosternent en même temps qu'elle-même ne s'incline que devant la Vierge Marie ! Car, à célébrer la Mère du Christ dans son apothéose, Venise ne se glorifie-t-elle pas elle-même ?
Et comme s'il ne suffisait pas de préparer le Ciel, il faut que la terre fragile de la cité s'orne des plus beaux édifices, églises, basilique, palais magnifiquement décorés où se rendent avec ostentation les doges en processions pour toutes les fêtes, religieuses ou civiles, qui ponctuent la vie quotidienne .
Le siècle des Lumières verra fleurir au milieu des artistes les poètes et les dramaturges comme la Renaissance avait accueilli les musiciens et les architectes. Premier État moderne occidental, la puissante République survit aux grandes catastrophes européennes jusqu'à la perte de sa liberté quand Bonaparte à la fin du XVIIIe siècle puis les Autrichiens au XIXe siècle et enfin l'Unité italienne s'imposent à elle.
Meurt le temps de la splendeur et des défis. Meurent le dernier des doges et le Sénat vénitien. Meurent les parades du Bucentaure et les grandes processions dans la ville. C'est le temps des fonctionnaires italiens centralisateurs, des voyageurs anglais nonchalants, des touristes français romantiques ou impressionnistes. La République s'est éteinte après avoir éclairé pendant dix siècles l'histoire de l'art de l'Europe dont le ciel a été pour toujours illuminé.
Car l'âge d'or historique de Venise a correspondu, comme rarement ailleurs, à une intense création artistique. À ses armateurs maîtres de la Méditerranée, à ses marchands qui tiennent le commerce européen répondent les œuvres de Carpaccio, Bellini, Véronèse, Le Tintoret, Giorgione, Titien qui célèbrent son éclat et ses victoires, les miracles architecturaux de Sansovino, de Longhena et de Palladio. La « Ville miraculeuse » chantée par Pétrarque, la Venise de Longhi, de Canaletto, de Tiepolo et de Guardi ne s'évanouit que doucement, ombre d'une splendeur devenue exsangue, comme la mémoire de ses rêves d'une République idéale. Quand son pouvoir s'efface, c'est l'Europe qui accourt à ce rendez-vous privilégié où se succèdent Mozart, Goethe, lord Byron, Richard Wagner, Marcel Proust et Thomas Mann. La disparition des peintres officiels fait place aux Delacroix, Turner, Renoir, Monet, Ziem, Sargent qui disent à leur tour l'incomparable éclat qui ne s'éteint jamais et comprennent aussi qu'on ne naît pas Vénitien, on le devient.
Venise raconte désormais son histoire dans une galerie d'images vivantes qu'ont fixées les plus grands artistes qu'elle a inspirés. Des centaines de tableaux, de dessins et de manuscrits à peinture, reproduits avec leurs détails principaux dans un format exceptionnel, composent ce musée imaginaire dont elle est à la fois l'auteur et l'acteur principal.

Cet ouvrage d’initiation est à nouveau disponible. Il détaille les techniques de base de l’orfèvrerie, les procédés et les matériaux. Il reprend également les connaissances historiques, esthétiques et pratiques qui permettent aux amateurs ou aux professionnels de nourrir un socle de savoirs indispensables à la pratique de leur artCet ouvrage d’initiation est à nouveau disponible. Il détaille les techniques de base de l’orfèvrerie, les procédés et les matériaux. Il reprend également les connaissances historiques, esthétiques et pratiques qui permettent aux amateurs ou aux professionnels de nourrir un socle de savoirs indispensables à la pratique de leur art

Rome in the 60s: Anita Ekberg posing in the Trevi Fountain, Audrey Hepburn taking her Yorkshire Terrier for a walk through Roman streets and Brigitte Bardot smiling seductively for the camera. Life in Italy in the late 1950s and early 1960s was characterized by the "Dolce Vita", with Rome the favoured hot spot of the international Jet Set. By the time Federico Fellini had released his film of the same name in 1960, the reputation of the "sweet life" was assured.

"La Dolce Vita" in earBOOK format brings the legend back to life with portraits of many famous stars of the era.

Music CDs: Two CDs provide the perfect musical accompaniment to the photographic collection: one featuring the original soundtrack to "La Dolce Vita" and the other a selection of Italian hits from the period.

Ces trois ouvrages d’initiation sont à nouveau disponibles. Chacun détaille les techniques de base de leur domaine, les procédés et les matériaux. Cette collection reprend également les connaissances historiques, esthétiques et pratiques qui permettent aux amateurs ou aux professionnels de nourrir un socle de savoirs indispensables à la pratique de leur art.

Sommaire :
Aperçu historique, connaissance de la pierre, l’atelier, le projet, la taille directe, techniques du métier de sculpteur, la technique pas à pas, glossaire.

The first official book by international superstar Lady Gaga

In this book of original, behind-the-scenes photographs, acclaimed photographer Terry Richardson follows superstar Lady Gaga during one year of her life, from Lollapalooza through the final show of her Monster Ball tour.

During the time period he followed Gaga, Richardson took over 100,000 images and attended more than 30 Monster Ball dates around the world. From the 2010 MTV Video Music Awards to the Don't Ask, Don't Tell repeal rally in Portland, Maine, to the Thierry Mugler show at Maxime, Paris, Richardson captures Lady Gaga as you've never seen her before.

A year-long global odyssey - all access, nothing off limits - this is the book Lady Gaga fans have been waiting for.

LADY GAGA came to prominence following the release of her debut studio album The Fame (2008), which included the hits 'Just Dance', 'Poker Face', and 'Bad Romance'. She is well-recognized for her outre sense of style as a recording artist, in fashion, in performance and in her music videos. Her contributions to the music industry have garnered her numerous achievements including five Grammy Awards amongst twelve nominations, two Guinness World Records and the estimated sale of 20 million albums and 64 million singles worldwide. Billboard named her both the '2010 Artist of the Year' and the top selling artist of 2010 ranking her as the 73rd Artist of the 2000s decade. Gaga was named Forbes' Most Powerful Woman in the World 2011 and was included in Time's annual 'The 2010 Time 100' list of the most influential people in the world.

TERRY RICHARDSON is one of the most prolific and compelling photographers of his generation. Known for his uncanny ability to cut to the raw essence of whomever appears before his lens, Mr. Richardson's vision is at once humorous, tragic, beautiful, and provocative. Richardson's editorial work has appeared in magazines such as French Vogue, British Vogue, GQ, and Harper's Bazaar. Richardson's work has been the subject of numerous group and one man shows throughout the world.

In the mid-60s, artists in the USA and Europe began planning works for sites outside the narrow boundaries of galleries and museums. It began with ephemeral enhancements or traces left in deserted landscapes, in the deserts of America, or in the moors of Scotland. Following this were spectacular earthen sculptures of gigantic proportions, some of which are still in the process of completion today. One distinguishing feature of Land Art is its critical preoccupation with the tradition of sculpture. Sculpture can now be an earthwork excavation, a field of metal poles, a buried hut, a trace in the grass, or even a book. Another of the movement's special characteristics is its emphasis on site-specific, outdoor works intended to lastingly alter our perception of places, and to set new parameters in art production and reception.